Solitude vs Loneliness
vendredi 29 février 2008
jeudi 28 février 2008
Luis Mariano – C'est magnifique
Extrait de l'opérette "Can-Can".
La vie est là
Qui vous prend par le bras
Oh la la la
C'est magnifique !
Des jours tous bleus
Des baisers lumineux,
bss bss bss bss
C'est magnifique !
Donner son cœur
Avec un bouquet d'fleurs
Oh la la la
Mais c'est magnifique !
Et faire un jour
Un mariage d'amour
C'est magnifique !
Partir là-bas
Lun' de miel à Cuba,
Oh la la la
C'est magnifique !
Sous ce climat,
Les baisers sont comm' ça !
Bss bss bss bss
C'est magnifique !
Des nuits d'amour
Qui dur'nt quarant' cinq jours
Oh la la la
Mais c'est magnifique !
Revoir Paris
Retrouver ses amis
C'est magnifique !
Dîner à deux
Dans un nid d'amoureux
Oh la la la
C'est magnifique !
Dans un baiser
Laisser l'poulet brûler
Bss bss bss bss
C'est magnifique !
Avoir deux cœurs
Pour faire un seul bonheur
Oh la la la
Mais c'est magnifique !
S'aimer d'amour
A Paris pour toujours
C'est magnifique !
mercredi 27 février 2008
mardi 26 février 2008
Tino Rossi - Campanella
Chanson de Mario
{Refrain:}
Campana,
Campana,
Campanella, qu'il est doux ton appel
Dans le ciel !
Chaque fois, ta chanson me rappelle
Mes amis, mon pays et mon toit
Le carillon du soir qui m'a bercé
Fait refleurir tout mon passé
{au Refrain}
Campana,
Campanella,
Tu devines toujours
Du haut de ta chapelle,
Le jour de mon retour
Et tu sonnes, légère,
Aux échos d'alentour
Pour être la première
A me dire bonjour !
{au Refrain}
A ta voix, la campagne est plus belle
Et l'oiseau plus joyeux dans les bois
Et quand la nuit descend dans le vallon,
Tu veilles encore sur nos maisons
{au Refrain}
Campana,
Campanella,
Si je dois un beau jour
Rencontrer une belle
Que j'aimerais toujours,
Tu sonneras, légère,
Car je veux à mon tour
Que tu sois la première
À bénir mes amours !
lundi 25 février 2008
Peony
dimanche 24 février 2008
samedi 23 février 2008
En famille - Mes Aïeux
Qui n'a jamais commis d'erreurs?
Qui n'a jamais trahi son coeur?
Ça arrive même dans les meilleures... familles
Des fois, j'suis pas fier de c'que j'fais
Je ne distingue plus le faux du vrai
Je l'sais, y'a personne de parfait
Vous êtes les gardiens du secret... de familles
Quand ma vie vogue comme une galère
Sans port d'attache et sans repère
Ma seule façon d'y voir plus clair
C'est de siffler ce petit air... de familles
Le courage d'aller jusqu'au bout
De me tenir debout malgré tout
Je puise ma force en vous
Mon nid précieux comme un bijou... de familles
Toute ma colère envers ce monde
Toute mes envies de poser des bombes
Tout ça s'efface en deux secondes {x2}
Quand je r'garde le ventre de ma blonde
En famille
Mon ti-pou gros comme une crevette
Bien à l'abri dans ta cachette
On te prépare une belle assiette
Dans l'fond l'amour est une recette... de familles
vendredi 22 février 2008
jeudi 21 février 2008
Black trombone - Serge Gainsbourg
Monotone
Le trombone
C'est joli
Tourbillonne
Gramophone
Et bâillonne
Mon ennui
Black trombone
Monotone
Autochtone
De la nuit
Dieu pardonne
La mignonne
Qui fredonne
Dans mon lit
Black trombone
Monotone
Elle se donne
à demi
Nue, frissonne
Déraisonne
M'empoisonne
M'envahit
Black trombone
Monotone
C'est l'automne
De ma vie
Plus personne
Ne m'étonne
J'abandonne
C'est fini
mercredi 20 février 2008
mardi 19 février 2008
La moitié de nous - Bruno Pelletier, Hélène Ségara
Même, si tout est gris dehors
Même, si le passé s'endort
Même, si tout espoir est mort
Je t'aimerai encore
Même, si on est plus d'accord
Même, si on rêvait trop fort
Même, si on délie nos corps
Je t'aimerai encore
Sans toi, je me perds quelque fois
J'ouvre si grand mes bras, au néant
Sans lui, j'ai perdu et appris
Laisser des morceaux de vies, au néant
{Refrain:}
Même si le temps nous laisses
Alors, je sais ce qui nous blesse
Encore, ce vide qui nous reste
À chacun de nos gestes
Ce regret qui nous manque
C'est la moitié de nous
Si le temps décolore
Même, c'est qu'on a de plus fort.
Même, qu'on ait raison ou tord
Je t'aimerai encore
Même, si l'un de nous s'en sort
Même, en changeant de décor
Même, si j'avais des remords
Je t'aimerai encore
Sans toi, je me perds quelque fois
J'ouvre si grand mes bras, au néant
Sans lui, j'ai perdu et appris
Laisser des morceaux de vies, au néant
{au Refrain}
Ce vide qui nous reste
A chacun de nos gestes
Ce regret qui nous ment
{au Refrain}
Si l'un de nous s'en sort
Même, en changeant de décor
Même, si j'avais des remords
Je t'aimerai encore
lundi 18 février 2008
dimanche 17 février 2008
Guitare d`amour - Tino Rossi
Apporte lui l'écho des beaux jours
Dans le soir en émoi
Va lui chanter pour moi
La chanson de mon rêve
Guitare d'amour
Pour être heureux le temps est si court
Dis-lui que le printemps
Ne dure qu'un instant
Et malgré nous s'achève
Dis-lui qu'il faut savoir laisser surprendre son coeur
Par le frisson d'un doux et tendre bonheur
Du sort joyeux il faut comprendre l'appel charmeur
Guitare d'amour
Dans le déclin doré d'un beau jour
A son coeur en émoi
Va fredonner pour moi
La chanson de mon rêve
Chante
Dans la forêt l'oiseau t'écoute frileux
Chante
Le vagabond suspend sa route joyeux
Chante
La lune rit dans la nuit brune
Et le vent siffle sur la dune
L'ardent refrain des amoureux
Guitare d'amour
Apporte lui l'écho des beaux jours
Dans le soir en émoi
Va lui chanter pour moi
La chanson de mon rêve
Guitare d'amour
Pour être heureux le temps est si court
Dis-lui que le printemps ne dure qu'un instant
Et malgré nous s'achève
Dis-lui qu'il faut savoir laisser surprendre son coeur
Par le frisson d'un doux et tendre bonheur
Du sort joyeux il faut comprendre l'appel charmeur
Guitare d'amour
Dans le déclin doré d'un beau jour
A son coeur en émoi
Vas fredonner pour moi
La chanson de mon rêve
Chante
Que ton écho par sa fenêtre
Gaiement
Chante
Comme un voleur glisse et pénètre
Troublant
Chante
Pour que ta voix l'enchante et livre
Avec l'aveu qui me délivre
Le doux secret de son amant
samedi 16 février 2008
vendredi 15 février 2008
Pardonne-moi ce caprice d'enfant - Mireille Mathieu
{Refrain:}
Pardonne-moi ce caprice d'enfant
Pardonne-moi, reviens moi comme avant
Je t'aime trop et je ne peux pas vivre sans toi
Pardonne-moi ce caprice d'enfant
Pardonne-moi, reviens moi comme avant
Je t'aime trop et je ne peux pas vivre sans toi
C'était le temps des "je t'aime"
Nous deux on vivait heureux dans nos rêves
C'était le temps des "je t'aime"
Et puis j'ai voulu voler de mes ailes
Je voulais vivre d'autres amours
D'autres "je t'aime", d'autres "toujours"
Mais c'est de toi que je rêvais la nuit
Mon amour
{au Refrain}
C'était vouloir et connaître
Tout de la vie, trop vite peut-être
C'était découvrir la vie
Avec ses peines, ses joies, ses folies
Je voulais vivre comme le temps
Suivre mes heures, vivre au présent
Plus je vivais, plus encore je t'aimais
Tendrement
{au Refrain}
jeudi 14 février 2008
mercredi 13 février 2008
Amies - Ennemies
Quoi que l'on pense
Dans nos coeurs
Coulent les mêmes peurs
Nos robes de poupées
Tous nos secrets
Oubliés
Quelque chose a changé
Plus rien n'est comme avant
Tous est différent
Tout doucement le temps nous sépare
Et s'envole et s'envole
Pour un jour changer l'histoire
Un jour amies, l'autre ennemies
Refrain :
Être amies ennemies
Au fil de la mélodie
Être amies ennemies
Le temps nous a désunies
Is it right or wrong ?
Chopin play the song
There is no one to blame
So we can play the game
Être amies ennemies
Au fil de la mélodie
Être amies ennemies
On s'aime et l'on se maudit
Is it right or wrong ?
Chopin play the song
There is no one to blame
So we can play the game
Le même innocence
La même enfance
Tout semblait
Nous unir à jamais
Mais vingt ans plus tard
Tout nous sépare
Notre coeur
A changé de regard
Il ne reste plus rien
Qu' un air de Chopin
Tout doucement
Le temps nous sépare
Et s'envole et s'envole
Un jour amies, l'autre ennemies
Refrain
Le temps nous sépare
Et s'envole er s'envole
Pour un jour changer l'histoire
Tout nous lait
A présent tous nous sépare
mardi 12 février 2008
lundi 11 février 2008
Bande de dégonflantes
Continue de t'en prendre
A la petite guimauve
Qui s'cache entre mes jambes
Allez, crache ton venin
Libères-toi, la vipère
T'as déclaré la guerre
A mon petit zoin-zoin
Alors parlons-en donc
De ce qui me pend là
Qui bouge pas d'un frisson
Quand tu t'approches de moi
Bien sûr qu'ça n'atteint plus
Les sommets d'autrefois
Ca fait comme tes seins nus
Ca pointe vers le bas
Pa lapapa lapapa lapapa la
Eh oui, qu'elle déception
Quand t'es là qu'tu t'agites
Sans trouver la façon
De m'dérider la ...
T'es là qu'tu prends la pose
Avec ta cellulite
Et tu voudrais qu'j'explose
Comme de la dynamite
Bien sûr, je suis tout mou
Je croule sous tes sarcasmes
Qui sont venus à bout
De mes derniers fantasmes
Si t'es pas vraiment vache
T'as des airs de famille
J'constate que t'en arraches
Pauvre petite fille
Pa lapapa lapapa lapapa la
Si t'es pas exitante, c'est ton problème, ma grande
Va donc l'dire à ta bande de déglonflantes
Que q'part...ça m'réconforte d'savoir que tu jardines
J'te laisse à tes carottes
J'm'en vais chez la voisine !!
Pa lapapa lapapa lapapa la...
dimanche 10 février 2008
samedi 9 février 2008
L'enfant aux cheveux gris
Il est arrivé en coup d' vent
M'a marquée comme un coup d' soleil
Il s'est assis tout souriant
Il a dit : "J' m'appelle Henri Weil"
À la table d'un restaurant
En pleine nuit, en plein Paris
Comme un clone du fou chantant
Un simple amoureux de la vie
{Refrain:}Comme un enfant aux cheveux gris
Qui n'a qu'un hymne dans la voix
Qu'une conviction dans ta vie
C'est qu'y'a d' la joie
Il m'a parlé, il m'a appris
Que le bonheur est dans l' papier
Du napperon qu'on plie, qu'on replie
Et qui devient une fusée
Son regard bleu comme une vague
M'a transportée, m'a rafraîchie
Il y est allé de quelques blagues
J'avais l' coeur tout ragaillardi
{Refrain:}Comme un enfant aux cheveux gris
Qui n'a qu'une idole et qu'un roi
Qui n'a qu'une parole et qu'un cri
C'est "Y'a d' la joie"
Il m'a appris
Qu' le savoir-vivre
C'était de savoir être fou
Qu'assis, debout
A jeun ou ivre
On pouvait chanter n'importe où
Pour nous surprendre, il s'élançait
Vers quelque parfait inconnu
En s'écriant : "Si j' m'attendais...
Y'a si longtemps... Comment vas-tu ?"
Et devant tant de gentillesse
Et croyant sa mémoire trouée
L'homme floué, par politesse
Se résignait à l'embrasser
{Refrain:}Et comme un enfant aux cheveux gris
Les yeux brillants, l'air satisfait
Fier de sa douce plaisanterie
Il chantonnait
"Y'a d' la joie..."
Les années passent comme le vent
Marquent ma peau comme le soleil
Les années défilent et pourtant
Je ne me sens jamais plus vieille
Depuis cette nuit-là au resto
Je n' suis plus tout à fait pareille
Et si parfois j'ai le coeur gros
Quelque chose me dit qu'Henri veille
Et Trenet lui prête ses mots
"Y'a d' la joie... etc."
vendredi 8 février 2008
jeudi 7 février 2008
Un homme de 50 ans
Qui s'en est juste assez voulu, pour savoir que qu'il veut vraiment,
Je cherche un homme de 50 ans, qu'a déjà juste assez d'argent,
Mais que l'argent n'éblouit plus.
Je cherche un homme de 50 ans, qui a déjà plu, déjà déçu,
Et qui a fait juste assez d'enfants, pour être juste assez ému,
Je cherche un homme qui a survécu, qui a déjà tout fumé tout bu,
Qui a tout connu des femmes nues, un homme qui ne cherche plus.
Je cherche un homme de 50 ans, qui sait ce qu'il n'a pas à offrir,
Qui a plus de passé que d'avenir, mais qui enfin prend tout son temps,
Je cherche un homme de 50 ans, qui est déjà préparé au pire,
Qui sait c' que l' temps peut pas guérir, qu'a déjà vu trop d'enterrements.
Je cherche un homme de 50 ans, qu' la vérité ne fait plus fuir,
Qu'a le courage de n'pas mentir, sur ses foutus de sentiments,
Oh oui un homme de 50 ans, qui ne se prend plus au sérieux,
Mais qui m'aim'rait silencieusement, et qui le ferait de son mieux.
Je cherche un homme pas trop solide, parce que personne ne l'est vraiment,
Un qui aurait juste assez de rides, et presque plus d' secrets,
Je cherche un homme comme y'en a plein, mais j'les croise jamais,
Un qui ressemble à mon chagrin, et qui peut-être m'attendrait,
Un homme de 50 balais, peut-être plus, peut-être moins,
Bien entendu un pas parfait, mais enfin un qui s'rait le mien,
Peut-être pas pour toute la vie, mais pour quelques moments de vrais,
Qu'au moins j'aurais moins le cœur détruit, chaque fois que je m'en souviendrais.
mercredi 6 février 2008
mardi 5 février 2008
J'veux bien t'aimer
Mais comment est-ce
Que j'peux t'aimer
Si j'te vois pas
J'veux bien t'aimer
Toute chaste ou presque
Comme les curés
Qui s'marient pas
Les sœurs cloîtrées
Qui se préservent
Pour un bon vieux
Dieu qui se cache
J'veux bien t'aimer
Bien sûr j'en rêve
Mais comment veux -
Tu que ça marche
J'veux bien me mo
Quer du proverbe
Qui dit " loin des
Yeux, loin du cœur "
Dieu que c'est faux
Que c'est acerbe
Que c'est exprès
Pour nous faire peur
J'veux bien m'endor
Mir chaque soir
En m'blotissant
Contre personne
Avec ton corps
Dans ma mémoire
Comme une mère-grand
Qui pleure son homme
J'veux bien t'aimer
Même jusqu'à croire
Aux éventuels
Avantages
De mélanger
Nos deux histoires
En perpétuel
Décalage
J'veux bien forcer
Tous ces hasards
Qui r'fusent de jouer
En notre faveur
Et puis gagner
La chance de t'voir
Deux petites journées
Ou deux petites heures
J'veux bien t'aimer
Mais comment est-ce
Que je peux t'aimer
Si j'suis pas là
Pour t'envelopper
De ma tendresse
Et t'consoler
Si ça va pas
Oui je veux bien
T'aimer de loin
Le cœur tout plein
De ton grand vide
T'aimer d'amour
Et de chagrin
T'aimer pour rien
Les yeux humides
J'veux bien t'aimer
Mais pour être franche
J'suis pas solide
Si j'te vois pas
J'suis comme aveugle
Sans canne blanche
Ni chien-guide...
Et sans ton bras
Pour traverser
Cette rue-là
Que l'on appelle
L'océan
Pour traverser
Mais jusqu'à toi
Y'a pas d'arc-en-ciel
Assez grand
J'veux bien t'aimer
Bien entendu
De toute façon
Est-ce que j'ai le choix
Je suis piégée
Je suis perdue
Je tourne en rond
Je t'aime déjà
Même si je sens
Que je m'éreinte
A te chercher
Les bras tendus
Dans cet effrayant
Labyrinthe
Trop compliqué
Et trop tordu
Je vais t'aimer
Même si tout ça
C'est sans issue
C'est impossible
Et j'y croirai
Comme d'autres croient
Au petit Jésus
Et à la Bible
Je sais pas encore
Comment est-ce
Que j'vais t'aimer
Si j'te vois pas
Mais j'vais t'aimer
C'est une promesse
Est-ce que t'entends
C'que j'te dis là ?!!
Je vais t'aimer !
Je vais t'aimer...
lundi 4 février 2008
dimanche 3 février 2008
Ton Histoire - Isabelle Boulay
C'est un regard de soie qui se passe de mots
Quand le silence est roi, le reste est de trop
On retrouve le goût des paradis perdus
Tout ce qu'on ne croyait plus
Quelques gestes oubliés qu'on reconnait par coeur
Qu'est ce qui s'était passé, était-ce nous d'ailleurs ?
Une main qu'on revoit, carressante et tendue
Tout ce qu'on ne croyait plus
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Quand le temps a bâti des mûrs
Entre toi et ma peau
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Même après ma vie, je le jure
Je te dirai ces mots
Ton histoire est mon histoire
C'est rattraper nos traces sur les chemins du temps
C'est l'espoir qui efface les blessures d'avant
C'est retrouver son âme comme retrouver la vue
Tout ce qu'on ne croyait plus
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Quand le temps a bâti des murs
Entre toi et ma peau
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Même après ma vie, je le jure
Je te dirai ces mots
Ton histoire est mon histoire
Ta douleur est ma douleur
Ta route est ma route
[Choeurs
Ton histoire est mon histoire
Ta douleur est ma douleur
Ta route est ma route]
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Quand le temps a bâti des mûrs
Entre toi et ma peau
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Même après ma vie, je le jure
Je te dirai ces mots
Je n'étais pas loin
Ouh ouh
Ta route est ma route
ouh ouhhhhhhhhhh
samedi 2 février 2008
Men fear silence
vendredi 1 février 2008
Comme toi - Jean-Jacques Goldman
A côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil
de la fin du jour
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique, surtout Schumann
et puis Mozart
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dors en rêvant à quoi
Comme toi..
Elle allait à l'école au village d'en bas
Elle apprenait les livres, elle apprenait les lois
Elle chantait les grenouilles
Et les Princesse qui dorment au bois
Elle aimait sa poupée, elle aimait ses amis
Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dors en rêvant à quoi
Comme toi..
Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans
Sa vie, c'était douceur, rêves et nuages blancs
Mais d'autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C'était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n'est pas née comme toi, ici et maintenant
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi.. сomme toi.. сomme toi..
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dors en rêvant à quoi
Comme toi..